Gérard-Philippe Mabillard – The Stars’Share (La Part des Étoiles)
Gérard-Philippe Mabillard, passionné de photographie expose au Rectorat une sélection de clichés tirée de son dernier livre, THE STARS’ SHARE.
Le titre de l’exposition et de l’ouvrage est un clin d’œil aux souvenirs d’enfance du photographe : ces moments magiques où l’amitié se célèbre le verre à la main, à la lueur des étoiles.
Petit garçon, je voyais mon père, mon grand-père, trinquer avec leurs amis en signe de joie et d’amitié. Ils célébraient des retrouvailles autour d’une bouteille de petite arvine ou d’humagne rouge, deux merveilleux vins du canton du Valais, dans le Sud de la Suisse. Ils élevaient leurs verres aux lueurs infinies des étoiles, les yeux dans les yeux. Des éclats de rire, des histoires que l’on raconte, autant d’étincelles de vie partagées qui se faufilaient entre les courants chauds d’une nuit d’été. (…)
J’ai imaginé ce livre en écho à ces moments vécus si intensément. (…)
Au moment de la prise de vue de tous ces artistes, je m’entendais leur susurrer : Regarde les étoiles. Je repensais alors aux tablées heureuses de mon enfance et à tous ces verres levés en chœur. (…)
Aujourd’hui, j’en suis sûr, depuis toutes ces années, les étoiles sont devenues les témoins privilégiés de ces parenthèses enchantées ! Comme l’écrivait Guillaume Apollinaire : « Il est grand temps de rallumer les étoiles. » et qu’elles aient enfin droit à leur part. Les anges ont bien la leur.
Extraits de l’introduction de Gérard-Philippe Mabillard.
François Pont
François Pont est un peintre originaire de Saint-Pierre-de-Clages. Il débute sa formation artistique à l’atelier d’Yvone Duruz avant de se rendre à Londres pour suivre une formation à l’école d’art de
Chelsea puis à la Byam Shaw School of Art.
Je ne cherche pas à donner un sens précis à mes signes. Mes symboles sont ouverts, ils sont les réceptacles d’une énergie, ils m’aident à structurer mon travail.
L’atelier de François sera ouvert durant les 3 jours de la fête
Aude Maret
Danseuses, funambules, trapézistes… Des mains de l’artiste émerge un univers de petites femmes expressives tout en rondeur et en mouvement.
L’artiste aime détourner des objets insolites anciens afin de les intégrer à ses créations. Ces matières inattendues contrastent avec le grès des personnages. Mécanismes de montres, vieilles serrures de bois, pièces industrielles…
L’atelier d’Aude Maret sera ouvert durant les trois jours de la fête